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corée du sud - Page 3

  • Secrétaire Kim, tomes 1 à 6 de Kim Myeongmi et Jeong Gyeong Yun

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    • kim mi-so, secrétaire Kim, qu'est-ce qui cloche avec la secrétaire Kim, lee yeongjun, manhwa, drama, what's wrong with secretaire Kim, Kim myeongmi, Jeong gyeong yun, corée, Corée du Sud, hanguk, passion corée Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Secrétaire Kim ?

       "C'est un des manhwas que l'on croise le plus souvent dans les librairies mais dans un premier temps, les couvertures m'avaient moins attirée que True Beauty, puis j'ai fini par craquer bien sûr."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Kim Mi-So est la secrétaire de Lee Yeong-jun depuis neuf ans déjà lorsqu'elle lui annonce qu'elle démissionne. À l'approche de la trentaine, elle veut pouvoir enfin accorder un peu de temps à sa vie personnelle. Sauf que son patron va très vite se rendre compte qu'il ne peut pas se passer d'elle..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "J'ai adoré ! Vraiment ! D'ailleurs, je suis allée acheter les tomes 2 à 6 dès que j'ai eu terminé le premierkim mi-so,secrétaire kim,qu'est-ce qui cloche avec la secrétaire kim,lee yeongjun,manhwa,drama,what's wrong with secretaire kim,kim myeongmi,jeong gyeong yun,corée,corée du sud,hanguk,passion corée et j'ai ensuite enchaîné avec le drama, c'est dire. C'est une intrigue très classique mais bien menée, et je me suis beaucoup amusée avec Kim Mi-So, complètement hermétique aux colères de son patron que tout le monde craint pourtant. On ne languit pas non plus pendant des tomes et des tomes, d'ailleurs il n'y en a que six au total, ce qui est parfait, et leur histoire d'amour est très vite une évidence tout en évoluant en douceur. J'ai peut-être un peu moins accroché à l'histoire de l'enlèvement, essentiellement à cause du frère, que je trouve juste insupportable, mais j'ai aimé que l'on explore des sujets et des émotions différents selon les chapitres, qu'on ne reste pas en surface, avec des scènes parfois très dures même."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Ce n'est peut-être pas utile de le redire mais c'est un coup de coeur. Le dernier tome est un petit peu comme un bonus à lui tout seul, l'histoire aurait pu se terminer plus tôt mais on ne va pas se plaindre d'en avoir plus.

       Un dernier petit mot pour souligner le travail de la maison d'édition, KBooks/Delcourt. Pour le moment, c'est de loin celle que je préfère, autant pour les choix des histoires que pour le rendu de l'objet. Et un carnet est même offert avec le dernier tome. Bravo."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

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    Alors, vous craquez pour "Secrétaire Kim" ?

  • Les Enfants du Silence de Gong Ji-Young

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    • les enfants du silence,gong ji-young, picquier, passion corée, passion hanguk, littérature coréenne, Corée du Sud, hangukMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Les Enfants du Silence ?

       "Nombreuses sont les parutions coréennes des éditions Picquier qui m'intéressent, malheureusement beaucoup sont aujourd'hui épuisées ou introuvables alors lorsque l'une d'entre elles est disponible, je n'y réfléchis pas à deux fois."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Lorsqu'Inho prend son poste de professeur dans une école pour enfants sourds, il sent tout de suite que quelque chose ne va pas mais ce qu'il va découvrir ira bien au-delà de ce qu'il aurait pu imaginer..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Le roman parlant d'enfants maltraités et étant inspiré de faits réels, je me doutais que ce serait une lecture difficile et, on ne va pas se mentir, ce fut le cas. Certains passages sont proprement insoutenables, j'en ai même pleuré, ce qui ne m'arrive que très rarement. Et puis vient la colère, d'abord face aux actes abominables qui sont commis, puis face à l'injustice. Mais malgré cela, c'est un récit magnifique, tout en pudeur et en poésie, que je ne regrette pas une seconde d'avoir lu et qui m'accompagnera très certainement pendant longtemps. J'ai aussi beaucoup aimé chaque personnage héroïque et la manière dont l'autrice n'embellit pas la vérité, n'essaye pas de faire des uns et des autres des modèles de perfection et de courage, ne cache aucune de leurs failles. C'est ce qui en fait un récit si humain."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Plus j'avançais, plus je craignais une fin plombante mais l'autrice a su insuffler ce qu'il faut d'espoir pour panser nos coeurs meurtris malgré un contexte écoeurant. Mon seul regret, c'est que l'éditeur n'ait pas jugé bon de joindre une note explicative. En effet, après la sortie du roman et son adaptation en film, l'indignation provoquée par ce récit a obligé la justice à rouvrir l'enquête, la fin de l'histoire reste donc manquante ici. Mais quelle belle leçon sur le pouvoir de la littérature."

     

        Mlle Alice, merci, et à samedi prochain...

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    Alors, vous craquez pour "Les Enfants du Silence" ?

  • Le Grand Magasin des Rêves de Lee Mi-Ye

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    • le grand magasin des rêves, lee mi-ye, littérature coréenne, feelgood coréen, feelgood book, Corée du Sud, passion corée, hangukMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Le Grand Magasin des Rêves ?

       "C'est un livre que j'avais déjà repéré dans d'autres langues, proposant toutes de magnifiques couvertures, et que j'étais sur le point d'acheter en anglais quand j'ai appris, ô joie, qu'il allait sortir aux éditions Picquier. Et pour que j'achète un grand format, c'est que j'en avais vraiment très envie."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Penny vient de décrocher un emploi au Grand Magasin des Rêves et elle n'a pas l'intention de gâcher sa chance. Elle nous entraîne avec elle dans la découverte de ce monde onirique et chatoyant..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Même si ce livre m'attirait énormément, j'avais peur de ne pas aimer, de me retrouver dans un univers sans cohérence, où l'absurde l'emporte... Si ce récit a bien un côté loufoque, il est, au contraire de ce que je craignais, parfaitement pensé. Comme tout bon roman feelgood, il vous offre deux niveaux de lecture et vous laisse choisir en fonction de vos envies, ou peut-être aussi du moment où vous lirez ce roman, jusqu'où vous souhaitez pousser votre réflexion. Il peut se lire très vite et se contenter de vous entourer de rêves et de réconfort mais il peut aussi vous apporter bien plus que cela. Quant à l'ambiance, je n'ai pas pu m'empêcher de penser à la série The Good Place et c'est loin d'être un défaut. Dollagoot est un nouveau Michael. La seule chose que je regrette, c'est que certains aspects ne soient pas plus développés comme la vie de Penny elle-même, et les passages sur la vie de ceux qui rêvent mais je pense que ça s'explique par le fait que le magasin est le véritable héros de ce roman. On comprend mieux d'ailleurs pourquoi la plupart des couvertures mettent en scène celui-ci mais si ce n'est pas le cas de la française, je trouve pour autant que ce qu'elle dégage correspond parfaitement à l'atmosphère du roman et ça, j'adore."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Je ne sais pas si c'est un coup de coeur mais c'est un livre que je relirai avec plaisir et que je pourrais offrir autour de moi. Et une chose est certaine, j'espère vraiment que l'éditeur nous proposera la suite parce que je serais ravie de retourner au Grand Magasin des Rêves."

     

        Mlle Alice, merci, et à samedi prochain...

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